Road movie à la poésie métissée, ce roman raconte la crise du quart de vie d’un éternel chokeux dont les cicatrices de voyage cachent une mélancolie aussi douce que profonde.
Fred Proulx en a son voyage. Désillusionné par un quotidien qu’il juge insipide, il décide d’affronter son insomnie chronique en partant en Colombie, où il se défoulera contre l’incompétence des figures d’autorité et se pétera la gueule à trop vouloir exister.
« J’ai servi des poutines pendant quatre ans de ma vie, quatre années à sentir la cantine. Toute bonne soirée se terminait inlassablement par une poutine au bacon ou un combo Déro de la propriété familiale. À l’instar de la poutine qui semblait un mélange improbable pour les touristes en visite au Québec, ma vie était un chaos pour plusieurs autour de moi. »
Jeudi 17 septembre – Labo culinaire
Dès 17h – Entrée libre
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► Achat en ligne ( à partir du 9 septembre )
Après avoir parcouru plus de trente pays et appris (presque) cinq langues, Marie Eve Gosemick a eu envie de voir si la vie était plus facile pour un gars. Inspirée de son expérience professionnelle au Mexique, en France, en Suisse, au Ghana, au Cameroun, en Côte d’Ivoire et aux États-Unis, elle a imaginé l’univers décalé d’un antihéros masculin.
Lorsqu’elle n’écrit pas, elle voyage, court, donne des cours du programme d’entraînement Essentrics et offre ses services en stratégie de contenu. Poutine pour emporter est son premier roman.