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L'ÉCURIE :: Rencontre de réflexion autour de la pièce chorégraphique

Rencontre de réflexion autour de la pièce chorégraphique “l’Écurie” de la compagnie Manon fait de la danse dans le cadre de la résidence de Manon Oligny à la Socité des arts technologiques (SAT).

SAT[résidence] :: communiqué

L’ÉCURIE :: Rencontre de réflexion autour de la pièce chorégraphique

Le dimanche 10 février 2008 de 17h à 18h :: entrée libre

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Rencontre de réflexion autour de la pièce chorégraphique “l’Écurie” de la compagnie Manon fait de la danse dans le cadre de la résidence de Manon Oligny à la Socité des arts technologiques [SAT].

Venez rencontrer les collaborateurs, artistes et la chorégraphe pour un échange/discussion autour de la problématique de son nouveau projet.

Cie Manon fait de la danse en coproduction avec Danse-Cité
Résidence 8, 9 et 10 février 2008
Société des arts technologiques

Direction artistique et chorégraphie: Manon Oligny
en collaboration avec:
Danseurs: Mathilde Monnard, Anne Le Beau, Karina Iraola
en collaboration avec:
Auteure: Nelly Arcan
Répétitrice: Christine Charles
Scénographie et lumières: Yannick Mac Donald
Traitement des images en temps réelles: Simon Laroche
Musique: Gilles Brisebois
administration: Manon Laflamme

Info :: www.manonfaitdeladanse.com :: www.sat.qc.ca

La Chorégraphe :: Manon Oligny

Depuis 1992, la chorégraphe Manon Oligny poursuit un parcours artistique en exposant impudiquement des corps d’homme et de femme qu’elle guide sciemment vers un dévoilement de leur intimité. é travers un propos émouvant et parfois sarcastique, elle met en scéne le déréglement et le chaos de l’éme. Sa gestuelle est excessive, épre et charnelle. Sa démarche créatrice ne cesse de poser un regard critique sur son médium, la danse, et de questionner les codes qui y sont associés. Elle a établi depuis prés de trois ans plusieurs collaborations artistiques avec des gens provenant de milieu divers : cinéma, vidéo, littérature et photographie, ici et à l’étranger. Elle ne s’intéresse pas aux concepts, mais é la dramatisation des idées. L’intensité et l’incarnation des gestes doivent d’abord émerger, car les états du corps sont rarement stables, tout n’est que glissement, changement, fuite…

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